Bien que le décalage horaire soit a notre avantage, nous sommes un peu KO par ces heures de transit et de stress... En effet, l'avion avait du retard et une hôtesse sans doute jalouse de notre bonne mine a tout fait pour nous effrayer: nous avons bien cru que nous manquerions la correspondance pour Toulouse.
Mais comme dans les films où les heros ne meurent jamais, tout s'est bien terminé: nous avons même eu le temps de manger une orange grecque et quelques fruits secs à l'aeroport de Roissy , c'est tout dire!
Le départ d'Athenes fut pourtant difficile : apres avoir rallié l'aéroport chargés comme des mulets de nos impressionnants menhirs (Obélix ne nous impressionne plus), un appel au micro a clamé mon nom de maniere menaçante ! Heureusement d'ailleurs que l'oreille toujours à l'affût de Bruno y a prêté attention car Eva et moi sirotions notre café glacé avec la plus délicate inconscience.
C'était à cause de la bouteille de gaz que je tentais de ramener en France non dans le but de poser une quelconque bombe mais dans l'optique de cuisiner quelques petites soupes en sachets pour la prochaine rando... Rien que très innocent en somme.
Nous savions que le transport en était prohibé mais aucun aéroport n'avait jusque là relevé mon inconséquence. Pour cette fois j'en ai été quitte pour une visite des sous-sols, accompagnée par une hôtesse (souriante) dans de sinistres couloirs blancs qui me renvoyaient de plein fouet l'ampleur de ma culpabilité... On se croyait au KGB, chaque porte s'ouvrait à l'aide d'un code ou de clefs et le chemin tortueux m'a mené de couloirs en ascenseur, tous blancs et sans fenêtre, jusqu'au hall d'embarquement des bagages : beaucoup moins accueillant que celui des passagers. Là, elle a ouvert une dernière porte donnant sur une grande salle absolument vide où mon sac se trouvait seul, et décoré d'une grosse étiquette rouge. Le coupable était désigné ! J'ai retiré la bouteille licencieuse, et signé un papier qui entérinait l'affaire.
Finalement, ça m'a donné l'occasion de voir comment ça se passe là-dessous !
Bientôt Bruno refera totalement la sélection de photos... Be patient!
Mais comme dans les films où les heros ne meurent jamais, tout s'est bien terminé: nous avons même eu le temps de manger une orange grecque et quelques fruits secs à l'aeroport de Roissy , c'est tout dire!
Le départ d'Athenes fut pourtant difficile : apres avoir rallié l'aéroport chargés comme des mulets de nos impressionnants menhirs (Obélix ne nous impressionne plus), un appel au micro a clamé mon nom de maniere menaçante ! Heureusement d'ailleurs que l'oreille toujours à l'affût de Bruno y a prêté attention car Eva et moi sirotions notre café glacé avec la plus délicate inconscience.
C'était à cause de la bouteille de gaz que je tentais de ramener en France non dans le but de poser une quelconque bombe mais dans l'optique de cuisiner quelques petites soupes en sachets pour la prochaine rando... Rien que très innocent en somme.
Nous savions que le transport en était prohibé mais aucun aéroport n'avait jusque là relevé mon inconséquence. Pour cette fois j'en ai été quitte pour une visite des sous-sols, accompagnée par une hôtesse (souriante) dans de sinistres couloirs blancs qui me renvoyaient de plein fouet l'ampleur de ma culpabilité... On se croyait au KGB, chaque porte s'ouvrait à l'aide d'un code ou de clefs et le chemin tortueux m'a mené de couloirs en ascenseur, tous blancs et sans fenêtre, jusqu'au hall d'embarquement des bagages : beaucoup moins accueillant que celui des passagers. Là, elle a ouvert une dernière porte donnant sur une grande salle absolument vide où mon sac se trouvait seul, et décoré d'une grosse étiquette rouge. Le coupable était désigné ! J'ai retiré la bouteille licencieuse, et signé un papier qui entérinait l'affaire.
Finalement, ça m'a donné l'occasion de voir comment ça se passe là-dessous !
Bientôt Bruno refera totalement la sélection de photos... Be patient!
Sympa la péripétie terroriste ...
RépondreSupprimerj'en ai une autre pas mal aussi sur http://alexisboudaud.blogspot.com/2009/04/societe-nucleaire-plus-que-jamais.html